Des Jeunes et du Sport

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Cerise Sudry-Le Dû, Addiction au sport: quand l'activité physique va trop loin [en ligne], 08/01/2016 [consulté le 14/05/2018], disponible sur internet : https://www.lexpress.fr/styles/forme/addiction-au-sport-quand-l-activite-physique-va-trop-loin_1746178.html

Alexandre Obœuf, Sport et médias [en ligne], 3 juillet 2015 [consulté le 01/05/2018], disponible sur internet :

https://www.franceculture.fr/emissions/l-essai-et-la-revue-du-jour-14-15/sport-et-medias-revue-desports

Miquel Paul, Sport: attention, danger ! [en ligne], 24/01/2002 [consulté le 13/05/2018], disponible en ligne :

https://www.lexpress.fr/informations/sport-attention-danger_647042.html

Lise Bouilly, Le sport chez un ado : attention aux excès ! [en ligne], 8 janv. 2015 [consulté le 13/05/2018], disponible en ligne :

https://www.santemagazine.fr/beaute-forme/sport/le-sport-chez-un-ado-attention-aux-exces-172918

Benoît Laborde, À la recherche du sportif parfait [en ligne], 2015 [consulté le 08/04/2018], n’est plus disponible gratuitement :

https://boutique.arte.tv/detail/recherche_sportif_parfait

 Rédacteur en chef : Roch Sonnet, Le sport, d’abord l’affaire des jeunes [en ligne], Mars 2017 [consulté le 02/04/2018], disponible en ligne : http://www.injep.fr/sites/default/files/documents/ias1_le_sport.pdf

Rédacteurs en chef : Yvon Rendu, Les jeunes aiment le sport… de préférence sans contrainte [en ligne], février 2018 [consulté le 22/03/2018], disponible en ligne :

http://presse.ucpa.com/institutionnel/enquete-16-25-ans/enquete-sport-16-25-ans-tendances/

ONISEP, Sport de Haut niveau et études supérieures [en ligne], 11 janvier 2017 [consulté le 07/05/2018], disponible en ligne :

http://www.onisep.fr/Pres-de-chez-vous/Centre-Val-de-Loire/Orleans/Se-former-dans-ma-region/S-informer-sur-le-lycee/Sport/Sport-de-Haut-niveau-et-etudes-superieures

 Réalisateur : John G. Avildsen, The Karate Kid, [film], 1984 [consulté le 12/02/2018]

Comme il a été expliqué dans les précédents articles, le sport fait partie prenante de la société et surtout chez les jeunes. Nous avons bien répondu au question d'influence positive et négative sur les individus. Il reste néanmoins l'un des outils d'influencesle plus important, de part sa médiatisation ainsi que les tendances qui en décousent avec les réseaux sociaux, les compétitions... Il n'est pas pour autant toujours bon pour le jeune, particulièrement quand il devient une addiction ou qu'il est mal pratiqué. Le sport est donc l'une des activités favorites des jeunes du moment qu'il n'est pas contraignants et qu'il est pratiqué avec du plaisir, de la motivation, ou de la passion.

Si le sport est reconnu comme bénéfique pour la santé et le cerveau il peut parfois avoir les effets inverses des bienfaits attendus. Il n'est pas rare de voire des jeunes se servir du sport comme exutoire et relacher le stress et la pression à cause des examens ou du travail. Mais est-ce que le sport libère t-il pour autant l'esprit comme on le pense? 

La pratique sportive est en général perçue comme liens social, favorable au développement du corp... Chez les jeunes sportifs, il est pratiqué régulièrement, avec des routines bien organisées. Souvent les jeunes pratiquent une activité physique en vue de reclâcher la pression et mieux aborder des périodes de stress. Mais de plus en plus de jeunes tombent dans l'addiction au sport et commencent petit à petit à s'éloigner de leur entourage, changer leur quotidien pour s'entraîner, ressentir l'effet d'une journée bien accomplie après avoir fait du sport. 

C'est alors qu'interviennent plusieurs symptômes qui vont témoigner de l'addiction de ces jeunes au sport. Ils vont développer de la nervosité, avoir des crises d'angoisses, des troubles du sommeil, ce sont les symptômes de manque. Cela peut arriver à tous les niveaux sportifs, de l'hatlète de haut niveau au sportif lambda. Le sport à alors l'effet d'une drogue est peut avoir des effets graves sur la santé (fatigue musculaire, blessure, burn-out) et l'intégrité du jeune (isolement social). En cas de blessures, le jeune peut tomber en dépression par manque d'activité sportive. 

Enfin, il existe des thérapies pour vaincre cette addiction et mieux gérer la dépendance. L'arrêt total n'a aucune efficacité, il faut mettre en place une consomation contrôlée ou avec l'aide de coachs, freiner la frénésie et montrer au jeune addict qu'il part sur une mauvaise pentes et qu'il met en péril sa santé. L'introduction de séance de yoga peuvent avoir des bienfaits sur le contrôle de soi. Pour finir le sport n'est par conséquent qu'un acteur supplémentaire à la construction identitaire du jeune s'il est pratiqué dans de bonnes conditions, avec de la motivation et en modération.

https://www.lexpress.fr/styles/forme/addiction-au-sport-quand-l-activite-physique-va-trop-loin_1746178.html

Pendant l'adolescence le sport est capital pour la santé du jeune. Une activité physique régulière permet de développer les système cardiovasculaire, respiratoire, musculaire et mental. De plus il prévient des problèmes d'obésités, de surpoids et de sédentarités. Le sport a également des vertus sociologique avec l'intégration ou le respect de son adversaire et canalise les pulsions agressives.

En général le sport aide à maintenir une hygiène de vie saine en consomant moins d'alcools, de tabacs, de drogues... Or l'excès de pratique sportive peut mener les individus à la bigorexie, une maladie qui atteint les addicts du sport et qui n'arrivent plus à supporter leurs propres entrainements. La bigorexie est remarquable par la baisse de performances malgré des entraînements intenses, des troubles du sommeil, de l'appétit, de l'humeur, et la baisse de résultats scolaires.

Il y a également l'apparition de blessures articulaires qui vont, plus tard, causées des problèmes d'artoses. Le sport est censé prévenir des infarctus pourtant lors d'un effort chez un sportif le risque est multiplié par 7. Il faut ajouter à cela l'écrasement des cartilages, les fissures vertébrales, et les fractures. Souvent dans le domaine de la gymnastique notamment, les gymnastes voient leur croissance ralentir à cause des efforts produits. Le métabolisme des ados va se focaliser sur la reconstruction métabolique tandis que la croissance en général. Leurs systèmes oseux est bien plus fragile que celui d'un adulte donc l'excès de sport augmente l'apparition de tous ces risques à l'âge adulte.

Le sport est comme beaucoup de chose, une activité à pratiquer avec modération pour ne pas avoir de problèmes de santés. Chez les jeunes les risques de blessures sont plus important malgré la capacité du corp à se reconstruire plus rapidement que celui d'un adulte. Un jeune qui se voit contraint plus tard de ne plus pouvoir pratiquer de sport risque de développer le stress et l'anxiété. Ne pas oublier que les adolescents peuvent être de futur champion, c'est pourquoi il est essentiel de les préserver.

https://www.santemagazine.fr/beaute-forme/sport/le-sport-chez-un-ado-attention-aux-exces-172918

https://www.lexpress.fr/informations/sport-attention-danger_647042.html

The Karate Kid est un film américain réalisé par John G. Avildsen, sorti en 1984. 

Synopsis : Le jeune Daniel LARUSSO, 16 ans, et Lucille, sa mère veuve, originaires de Newark, partent s'installer en Californie car elle y a trouvé un nouveau travail. Un soir, il fait la connaissance de la ravissante Ali mais ils sont bientôt dérangés par une bande de motards, menée par Johnny, l'ancien petit ami d'Ali, qui aborde brutalement cette dernière. Daniel tente de s'interposer mais reçoit une véritable correction.

Il décide alors d'apprendre le karaté pour se défendre. Miyagi, le vieux jardinier, semble être un maître dans cet art et accepte de le lui enseigner, mais il semble plus intéressé de voir Daniel lui peindre ses palissades, lui laver ses voitures et lui faire attraper des mouches avec des baguettes que de lui enseigner réellement l'art du combat. Le jeune « Daniel-san » découvrira par la suite les vertus de ces corvées apparemment inutiles...

Dans le film le jeune apprend le karaté dans le but de se défendre et de pouvoir se venger face à Johnny qui lui veut du mal. Au fil du temps on voit que le jeune Daniel commence à prendre du poil de la bête et à regagner confiance en lui après s'être fait persécuté. Daniel comprend suite à cela que tout était mental et que la confiance en soit ainsi que concentration sont des alliés non négligeable. 

The Karate Kid est la preuve que le sport forge l'esprit des jeunes quelsqu'ils soient, cela prouve qu'une éducation sportive est un repère utile aux jeunes, notamment le Karaté qui est un art martial basé sur la maitrise de soit. Mais tous les sports apportent ces mêmes bénéfices.

En France les jeunes sont inscrits sur une liste de sportifs de haut-niveau dès l'âge de 12 ans. Chaque années ce statut est actualisé est rajoute des jeunes ou en enlève. Aujourd'hui plus de 7 000 sportifs y sont inscrit en France. Pour être inscrit dans cette liste, ils doivent pratiquer une discipline reconnue de haut niveau. Cette inscription s’effectue dans la catégorie Élite, la catégorie Senior, la catégorie Relève, ou la catégorie Reconversion. Ces catégories ne correspondent pas de façon systématique à des classes d’âges déterminées, ni à des collectifs d’appellation homogène.

Pour poursuivre leurs études et continuer à s'entraîner pour les compétitions, les jeunes sont le plus souvent acceuillis en CREPS (Centre de ressources, d’Expertise et de Performance Sportives) ou à l'INSEP (Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance). Il leur est proposé des formations supérieurs en partenariat avec des universités ou des grandes écoles. Il est possible, pour les sportifs de haut niveau, de se former à distance via le CNED (Centre National d'Enseignement à Distance). Dans des établissemnts supérieurs, les sportifs de haut niveau peuvent aménager leur emplois du temps pour avoir des horaires plus adéquates avec leurs entrainements. Ils ont par ailleurs un ou une correspondante qui les suit dans l'enseignement supérieur.

Mais qu'en est-il pour les sportifs de bon niveau? Le sportifs de bon niveau sont des sportifs qui malgré leur "non-recensement" dans la liste des sportifs de haut niveau, s'entrainent à une fréquence similaire. Heureusement pour eux, ils peuvent bénéficier d'aménagements d'emplois du temps et s'entrainer. Certes ils ne sont pas sportifs de haut niveau mais peuvent le devenir dans les années suivantes. Nous retrouvons ce systèmes d'aménagements ou de sport études au niveau des classes du collège avec les classes qui ont uniquement des ados qui pratiques à bon niveau le sport. Mais aussi au lycée avec les "Sport Etudes" ou des formations qui permettent de passer le Baccalauréat sur deux ans et de se projeter sur un parcours sportif.

Grâce à tout cela les étudiants et même les ados peuvent préparer le matériel qu'ils ont besoin et s'entraîner à fréquence régulière. Ils gardent un équilibre entre passion sportives et scolarité. C'est une complémentarité qui permet aussi de dégager le stress et de penser à autres choses après les cours lors des entrainements. 

Portrait de Martin CHARRIER, champion du monde de mono-cycle, explique comment il concilie étudiant à l'INSA et passion sportive. https://youtu.be/nIckipdc7bk

http://www.onisep.fr/Pres-de-chez-vous/Centre-Val-de-Loire/Orleans/Se-former-dans-ma-region/S-informer-sur-le-lycee/Sport/Sport-de-Haut-niveau-et-etudes-superieures

Depuis la médiatisation du sport, les évennements sportifs sont devenus de nouveaux facteurs de liens sociaux. Auparavant c'était à la radios, dans les journaux que le sport était le plus suivi mais avec les avancées technologiques le sport se regarde désormais devant la télévision ou les petits écrans. Regarder le sport est un moyen de se divertir ou de se détendre. Il est une source d'émotion et une marque de soutien au sportif. Toutefois c'est aussi une source de dispute entre supporter.

La télédiffusion a permi d'initier de nombreux jeunes à de nouvelles pratiques comme le tennis, la natation, ou le football suite à des compétitions majeurs. C'est notamment grâce aux athlètes de l'hexagone qui rendent leur sport plus populaire, qui pousseraient par la suite 19% des français à la pratique d'un autre sport notamment la natation suite au Jeux Olympiques. Les performances des grands athlètes vont inspirer les jeunes à réaliser les mêmes exploits, les enfants vont se comparer à des joueurs ou athlètes pour définir leur puissance et les similitude qu'ils ont avec leurs idoles. Beaucoup de jeunes rêvent d'être à la place des dieux du stades, c'est pourquoi les marques n'hésitent pas à utiliser la notoriété de ces grands joueurs.

Le sport a un impact social important nécessitant une connaissance et un opinion fixe chez les individus. Il est d'autant plus soutenu au quotidien avec les rivalités entre clubs, athlètes qui mènent parfois au clash. Au quotidien et même depuis tout petit, les enfants vont grandir dans des familles ou des villes dont la tendance de surpporter un club plus qu'un autre va très vite être ressenti. Les jeunes vont alors voir dans les journaux locaux ou écouter dans les radios locales les articles et les critiques sur le dernier match de l'équipe "locale". Même dans les médias locaux, les jeunes baignent dans ce formatage qui ne pousse plus à la réflexion.

Au delà de cette importante médiatisation, certains sports comme le football reste parmi les sports favori qui rassemblent le plus de spectateurs surtout lors de matchs internationaux. Alors, des chaînes télévisées font leur apparitions, prenant tous les droits de diffusions et laissant une vision étroite du sport. Des analyses sont faîtes autours de chaque match laissant une "expertise" sur la valeur des sportifs. Le sport ne représente plus un pays ou une ville, désormais le sport porte les couleurs d'une marque ou d'un enjeux financier de taille pour laisser inconciemment une trace chez les jeunes qui se souviendront d'un slogan.

https://www.franceculture.fr/emissions/l-essai-et-la-revue-du-jour-14-15/sport-et-medias-revue-desports

https://www.eurosport.fr/omnisport/francais-sport-et-medias-detroites-relations_sto3549030/story.shtml

Depuis plusieurs années les réseaux sociaux se sont développés et connaissent aujourd'hui un fort succès auprès du grand public, peu importe les tranche d'âge et les classes socials. C'est alors que les publicités et les influenceurs se sont développés eux aussi pour ainsi convaincre et vendre plus facilement leurs produits. Il y a plusieurs manières de faire de la publicité, il y a les placements de produits que les "idoles" vont mettre en avant ou la promotion direct qui va inclure "l'idole" dans la publicité.

Quelle est leur méthode? Tout d'abord les influenceurs vont se faire connaître sur les réseaux sociaux par un buzz qui va les faire monter en notoriété. Puis ces personnes vont avoir un nombre de fans conséquent pour pouvoir atteindre un plus grand nombre de personnes. C'est à partir de là qu'ils vont mettre en avant des produits et que, bien-sûr, vont accompagner d'un "code promo" qui fait économiser de l'argent aux acheteurs. Les influenceurs vont avoir une conduite exemplaire, ils vont proner leur réussite, leur corp, leurs perfomances, leur lifestyle, ce qui inconsciemment va toucher moralement le public qui le suit. Ils vont être influenceur d'une marque, d'une discipline...

Toutefois, il faut bien présenter les résultats de leur conseil à leur public et quoi de mieux pour convaincre. Ils vont demander à des personnes qui ont suivis ces conseils et qui ont "réussis" grâce à eux. Cela prouve par la suite leur légitimité et leur honnêteté. Or les influenceur n'ont pas de mauvaises intentions, certains cherchent à aider le plus possible leur communauté et ça avec passion. Certains aident moralement et porte un soutiens moral au peronnes démunis ou ayant des problèmes de santé. Ils les aident à garder la tête haute et ne jamais baisser les bras. Ils font preuve d'une vraie solidarité et se motivent les uns les autres au sein de cette communauté. Il est alors fréquent d'assister à des regroupements ou des rencontre abonnés en place public, pour que les fans échangent avec leur idole.

Enfin, les réseaux sociaux seraient donc une nouvelle méthode de communication qui créé de nouvelles personnes influentent, que l'on surnomme aussi les "stars du web". C'est un nouveau type de célébrité qui s'est fondé sur de petits écrans et non sur scène ou cinéma, qui, par ailleurs, rapportent plus aux marques car l'accès au réseaux sociaux est gratuits et la promotion sur celle-ci aussi. Il ne reste donc pour les marques que le salaire de l'influenceur à débourser.  

Le cadre de vie est le principal facteur d’influence chez les jeunes dans le cadre de leurs pratiques sportives. Le sport qu’ils vont pratiquer va dépendre de leur classe social et de la transmission des sports de familles. Bien sûr l’influence du sexe va avoir un poids sur le sport en question. Ajoutons à cela la corpulence de l’individu qui va le « destiner » à un sport plutôt qu’un autre. 

Certains sports nessécitent un coup et un investissement plus élevé que d'autres. Par exemple la pratique du golf, qui demande un investissement conséquent, sera très peu voir pas du tout pratiqué par les personnes issues de familles modestes. Ces personnes seront plus orientées à la pratique du sport le moins coûteux comme l'athlétisme ou la boxe grâce aux associations locales. Ils bénéficient du soutiens du Ministère de la Jeunesse et du Sport, qui va promouvoir l'activité sportive et ainsi éviter la sédentarité ou lutter contre la délinquance, notamment dans les quartiers "populaires" qui font partis de quartiers prioritaires. 

La morphologie est aussi important à prendre en compte car il va "destiner" l'individu à pratiquer un sport, exemple avec les personnes de grandes tailles qui vont plus s'orienter vers le basket ou le volley. Il y a aussi le vécu et la motivation qui vont influencer, les personnes qui se sentaient vulnérables dans les cours d'écoles et qui étaient victime de harcèlement vont par ailleurs pratiquer des sports de combat, des arts martiaux, des sports très physiques pour regagner confiance en eux et se renforcer mentalement.

Toutefois il ne faut pas prendre au pieds de la lettre ces critères, il y a bien-sûr l'intérêt que vont porter les personnes sur une discipline, il est très fréquent de remarquer des sportifs de haut niveau qui ont découvert leur sport favoris par hasard et qui finalement leur a plu au points d'en devenir des athlètes. Il y a certe une influence importante sur le cadre de vie mais l'intérêt que portera un individus sur une discipline n'est pas négligeable.